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Les Orpailleurs
Sous le titre "Les Orpailleurs", nous créons ici un espace de recherche et réflexion sur la chanson française. Nous y publierons des textes que nous proposeront nos lecteurs. Ces textes seront consacrés à l'histoire de la chanson, la sociologie, la sémiologie, l'économie. Ils pourront prendre la forme d'études, de témoignages, de portraits, de monographies (une chanson, un chanteur, un auteur, un musicien, un lieu, un ensemble de lieux, un style, une tendance, etc). Afin d'éviter l'avalanche et l'inondation, et de préserver la sérénité des débats par la nuance dans les interventions, nous prendrons par principe un recul de vingt ans environ avec les faits et œuvres cités.
N'importe qui pourra contribuer à cet espace. Il n'est pas exigé d'être un spécialiste. Notre seul critère sera la valeur des contributions. Nous bannirons le jargon, en particulier l'universitaire. Les contributions ne seront pas rétribuées ; la consultation du site sera gratuite. Les auteurs conserveront évidemment, par ailleurs, l'intégralité de leurs droits.
Nous pourrons accepter les simples témoignages ou souvenirs. Nous ne publierons aucune contribution ayant un rapport avec l'actualité. Aucune opinion sur les artistes d'aujourd'hui ou leurs œuvres, aucune critique, aucune sélection, aucun article d'annonce. Les portraits que nous publierons seront toujours ceux de personnalités de périodes historiques passées.
Vous pouvez envoyer textes et témoignages - ils seront publiés selon les critères habituels des revues. On correspond avec les Orpailleurs en contactant Velena.
Pour le
moment, Jacques Bertin est le responsable unique des Orpailleurs. Ça ne
durera peut-être pas...
Raymond Lévesque, souvenirs de Paris
(par Jacques Bonnadier)
De Recouvrance à Saïgon : romances et complaintes pour un folklore imaginaire
(Philippe Blondeau)
Éloge de Marc Chevalier
(Christian Camerlynck)
PRELUDE
au Retour vers l'Artiste-Producteur
(Nilda
Fernandez)
Plaidoyer
pour la poésie en vers
(Jaufré
Cantolys)
Il
y a dix ans... le Forum Léo-Ferré
(Floréal
Melgar)
Guy Béart, voyageur de fiction
(Philippe Geoffroy)
Le show business est une ordure
(Jacques Bertin)
Un accord équitable : un témoignage d’Alexandre Tarta : dès
les années cinquante, la télévision française naissante avait déjà confié nos
oreilles aux intérêts commerciaux
(Jacques Bertin)
Le sexe des fantômes chez Brassens
(Philippe Geoffroy)
Le prix
unique du disque : une histoire à écrire
(Jacques Bertin)
Deux évocations de Gilles Elbaz
(Jean
Vasca et Christophe
Belhair)
Jacques Douai, l'enchanteur qui
chantait les poètes
(un
article de Jacques Charpentreau)
"Les Faux-nez de Lausanne"
(un
ouvrage de Jean Dufour)
"Je chante, excuse-moi!"
(par
Aline Dhavré)
Une
chanson sociale : Les petits enfants des taudis
(par Jacques
Bertin)
Colette
Magny et mai 68
(par Pierre Prouvèze)
Comment être un chanteur ?
(par Morice Bénin)
Félix Leclerc et Henri Ghéon
(par
Jacques Bertin)
Claire Lafrenière : La chanson
d'auteurs au Québec n'a pas commencé avec la Bolduc !
(Le Petit Format, lettre
d'information des adhérents du Centre de la chanson, numéro 96, juillet-août 2008)
Un entretien avec Francesca
Solleville
(Le Petit Format, lettre d'information des adhérents du Centre de la chanson, numéro 95, mai-juin 2008)
Un cabaret
historique : Chez Gérard
(par Jacques Bertin)
Prendre le maquis
(par Philippe Forcioli)
(Chronique de Philippe Forcioli, dans le journal La Croix du vendredi 20 avril 2001)
Main lourde sur la chanson légère
(par Philippe Geoffroy)
(A propos de la
réédition en 2007 dans Reviens, Draïssi de «L’affaire Trenet»,
article paru dans Politis du 22 février 2001)
Louki,
Vinci, Bertin, Vasca... Coup de batée dans l'histoire de la
chanson
(par Jacques Bertin)
Sur la Boîte à musique... et avec Robert Desnos (par Jacques Bertin)
Jean Prévost : "Je ne vois pas d'autre chemin ouvert à notre poésie."
A propos de Guy Mauffette ... et de Félix Leclerc (par Jacques Bertin)
Une lettre de Jean-Pierre Liénard ...
Jean-Pierre Liénard décrit
comment dans les années soixante-dix, lui-même et son entourage
vivaient avec, et même dans la chanson. Ce texte nous semble "rendre" à
la perfection une époque et une atmosphère, une culture qui, si l'on
croyait les journaux, les chroniqueurs, les sociologues d'aujourd'hui,
semblerait n'avoir jamais existé.
